SOUTENONS LA COMMÉMORATION DU MASSACRE D’ARHIBA (DJIBOUTI) DU 18 DÉCEMBRE 1991

PARTI RÉPUBLICAIN pour L'INNOVATION DÉMOCRATIQUE et L'ÉCOLOGIE

En guise de contribution au devoir de mémoire pour toutes les victimes du massacre d’Arhiba, le 18 décembre 1991, le PRIDE propose ces documents d’époque tirés du bulletin n° 1 de janvier 1992 publié par le MSVC (Mouvement de soutien aux victimes civiles).
IL EST AUSSI IMPORTANT DE RAPPELER QUE L'ACTUEL DICTATEUR AU POUVOIR À DJIBOUTI, JE NOMME ISMAEL OMAR GUELLEH, ÉTAIT :

• LE CHEF DE CABINET DE SON DÉFUNT ONCLE, PRÉSIDENT À L'ÉPOQUE
• CHEF DE LA SÉCURITÉ NATIONALE DE LA RÉPUBLIQUE
• CHEF DU SERVICE SECRET
• HOMME DE MAIN AUX SALES BOULOTS, DE SON ONCLE PRÉSIDENT

Ce document porte sur :

• Le déroulement du massacre ;
• La liste des morts ;
• Le témoignage d’un médecin français.

L’impunité assurée en haut lieu aux crimes d’Etat étant une dangereuse constante de cette dictature sournoise et liberticide, afin de soigner les séquelles physiques et morales de cette barbarie et en prévenir définitivement le renouvellement, LA JUSTICE HUMAINE EXIGE :

La constitution d’une commission d’enquête indépendante ET la poursuite en Justice des auteurs et commanditaires des crimes suivants :

1. LE MASSACRE D'HARHIBA DU 18 DEC 1991
2. LE MASSACRE D'HARHIBA DU 30 NOV 2005

L’impunité des commanditaires et exécutants de ce massacre et des suivants ainsi que le refus de l’Etat, d’indemniser les ayant-droits constituent une offense à la Mémoire des victimes et plus grave, la porte ouverte à la continuation de ces crimes abominables.

LES CAUSES QUI ONT SERVI DE PRÉTEXTE À CE MASSACRE DU 18 DÉCEMBRE 1991, PAR QUI ET COMMENT FÛT-IL ORGANISÉ (Source djiboutienne avec l'ARDHD)

La guerre entre le FRUD et les troupes gouvernementales éclata le matin du 11 novembre 1991, les forces du FRUD commandées par l’ex sergent-chef Ougoureh Kifleh (passé à la résistance, après avoir été radié de la Gendarmerie) attaquèrent le sud du pays tandis que le commandant Maki attaquait au nord.
En l’espace de quelques heures l’État djiboutien avait perdu le contrôle de 89 % du territoire national. Le gouvernement illégitime de Djibouti fut pris de panique. Et il décida de se venger sur ses propres populations civiles, à titre de représailles.

Le fait déclencheur, se produisit le 16 décembre, quand la 3ème compagnie de parachutistes commandées par l’Adjudant Gamaleh tomba dans une embuscade tendue par le Frud. Cent soldats perdirent la vie et trente-neuf furent fait prisonniers à Assa Gaila.
Fou de rage, Ismail Omar Guelleh demanda alors à Hassan Gouled de se venger sur les Afar civiles d’Arhiba. Il utilisa le prétexte que plusieurs soldats mamasans avaient été tués dans l’embuscade.
Le lieutenant Colonel Zakaria Cheik Imbrahim (qui deviendra plus tard Chef d’Etat-major adjoint) exigeait de son côté que l’Etat djiboutien venge ses frères d’armes tombés dans l’embuscade.

Pour calmer les ardeurs vindicatives des deux hommes (Zakaria et IOG), Hassan Gouled a demandé l’ouverture d’une enquête pour faire toute la lumière sur ces évenements tragiques.
Mais Ismail Omar ne voulait rien entendre. Il s’est « assis » sur le refus d’Hassan Gouled. Seul, il décida lancer la « guerre » contre les Afar d’Arhiba avec la complicité du Lieutenant-Colonel Yacin Yabeh, alors patron de la FNS, du Lieutenant Colonel Zakaria Cheik Ibrahim, chef de corps du C C O, du Commandant de la force navale djiboutienne Elmi Abaneh, du Colonel Hoch Robleh Idleh, patron de la Gendarmerie nationale, d’Hassan Saïd sous-directeur du SDS et adjoint direct pour réaliser les coups tordus, du Capitaine Abdourahman Ali Kahin de la F N S en disgrâce aux yeux de Yacin Yabeh, et du Commandant Mahdi Cheik Moussa, patron de l’Escadron présidentiel.

Cette liste n’est pas exhaustive, mais j’ai essayé de localiser les principaux artisans du crime commis contre les Afar d’Arhiba.
Comme on s’en doute, les officiers Afar de la police, de la Gendarmerie et des forces armées n’avaient pas été consultés avant la mise en œuvre de ce plan diabolique.

Seule la DST française était informée du crime en préparation, via les renseignements récoltés par la sécurité militaire.
Cela explique-t-il, pourquoi les Français étaient prêt à tout filmer à partir d’un hélicoptère. Leur objectif était-il de faire éclater la vérité, le moment venu, sur ce massacre commis le 18 décembre 1991 ?
Ayant appris la chose, Ismail Omar est devenu fou furieux. Il a convoqué l’Ambassadeur de France de l’époque, Claude Soubeste. Ce dernier a occupé la fonction de 1988 à 1992. L’Ambassadeur Claude Soubeste a écouté poliment les injures proférées par IOG et il a transmis son rapport circonstancié et documenté au Quai d’Orsay.
IOG avait compris que les Français venaient de lui jouer un très mauvais tour, en le laissant commettre un crime impardonnable tout en recueillant des preuves incontestables.

Pourtant, le massacre organisé de sang-froid contre des victimes civiles à Arhiba ne calma pas les appétits de vengeance de l’équipe aux commandes dans les différentes unités militaro-policières. Les réglements de comptes continuèrent. C’est pour cette raison que 12 députés Afar démissionnèrent bruyemment. Il s’agit d’Ali Silay Abakarie, Mohamed Dini Farah, Orbisso Gadito, Houssein Barkhat Siraj, Adabo Kako et le célèbre Mohamed Ahmed Issa « Cheiko ». A noter qu’il y avait un gendarme parmi les députés démissionnaires.
Tous remirent leur lettre de démission au premier ministre Barkhat Gourad, qui les a transmises aussitôt à Hassan Gouled.
Il avait conscience que le pays risquait de sombrer dans la guerre civile. Il convoqua un conseil des ministres extraordinaires et il informa les membres sur les évenements tragiques d’Arhiba.

LE MASSACRE D’ARHIBA DU 18 DECEMBRE  1991

ÉVÉNEMENTS DU MASSACRE

Les Républicains Solidaires : Lettre ouverte au Président de la République de Djibouti

Par le Président : ""Les Républicains Solidaires""
Paris le, 18 novembre 2010
Au
Président de la République de Djibouti
Monsieur Ismaël Omar Guelleh

Par ce courrier, et en référence à votre discours du 17 novembre à l’occasion du jour de l’Aïd, au nom du Mouvement des Républicains Solidaires, j’ai souhaité réagir sur ce que j’appelle « l’institutionnalisation du néant».

N’ayant jamais adhéré à la logique de la tribalité, et issu d'une ethnie pour qui j’exprime autant de fierté, il me semble que le devoir et l’honnêteté intellectuelle sur la situation de notre pays, doivent prévaloir sur une telle logique d’échec sociétal.

J’estime que la prédominance d’une telle logique qui gangrène la société Djiboutienne, étouffe les valeurs et les convictions et de surcroit met en péril notre paix sociale déjà si fragilisée par un passé douloureux.

Devant ce cancer qui appauvrie la réflexion, et s’approprie la raison, j’appelle les Djiboutiens à la maturité et de rejeter cette vision macabre qui régresse chaque jour notre évolution dans ce monde en perpétuel changement.

Ce discours dont la note n’a jamais varié durant ces dix longues dernières années passé à la tête de l’Etat, laisse sceptique les Djiboutiens sur leur situation, puisque la primauté du « non sens » des politiques menées durant toute cette période est bien là.

Monsieur le Président, dans votre discours du 17 novembre, vous avez résumé le résultat de dix années au pouvoir comme un aveu d'échec : Le LIC, le SNA (dispositif qui a deux années), deux centres de formations récents à Balbala et à Damerjog, le micro finance et six mille trois cents tonnes de récoltes.

Devant si peu d'effort, ce résultat n'est -il pas le fruit de l'immobilisme de votre gouvernement qui suscite aujourd'hui le mécontentement de la population sur une possible continuité?

Monsieur le Président, dans votre discours, vous avez décrit  le « capital humain comme la clé du développement », mais qu’en est-il pour Djibouti, quand les ambitions, la volonté et les initiatives sont étouffées ? Ce capital humain n'est-il pas en pleine décomposition par la seule volonté des pratiques immorales et des injustices auxquelles sont exposés quotidiennement les Djiboutiens?

Monsieur le Président, cette « majorité visible » dont la souffrance ne vous évoque certainement rien, attend plus qu’un discours, celui d’un changement radical de la situation économique et sociale de la République de Djibouti.

""J'ACCUSE"", LA DÉFECTION DE L'OPPOSITION POLITIQUE DJIBOUTIENNE AU RÉGIME IOG (ÉCHEC DU 20 NOV 2010)

""J’ACCUSE"", LA DÉFECTION DE L'OPPOSITION POLITIQUE DJIBOUTIENNE AU RÉGIME IOG, DE N'AVOIR PU ASSUMER ET ÊTRE À LA HAUTEUR DE LEUR RESPONSABILITÉS DEVANT L'HISTOIRE ET LE PEUPLE.
Ainsi, comme nous l’avons prédis dans l’article à l’adresse au pied de ce message, la réunion de l’opposition au régime IOG du 20 novembre 2010 à Londres, a été malheureusement un autre échec à ajouter à la longue liste de ces 33 dernières années, illustrant encore une fois leur impuissance à présenter une alternative solide ou encore démontrer un quelconque talent et les capacités à gouverner un pays.

Ils sont devenus à la longue victime de leur propre ensemble, d’un vide flagrant de vision, de créativité, d’innovation et plus important que tout, l’absence d’un consensus national commun.

5 heures d’un débat et discours qui accouchent de « trois idées-forces », disons plutôt, une évidente sécheresse ayant certainement animé de rire la séance de Khat du Bokassa djiboutien et ses fidèles mercenaires.
Voici les  « trois idées-forces », de ceux qui prétendent gouverner autrement :

1. Le non au viol de la Constitution comme au troisième mandat et le soutien à la mobilisation pacifique de l’UAD car c’est la dernière chance d’épargner à notre pays un nouveau conflit civil aux conséquences incalculables,
2. L’impérieuse nécessité des réformes démocratiques et le refus de toute compétition électorale dans les conditions actuelles, c’est-à-dire sans l’instauration du cadre exigé par l’UAD
3. Le parachèvement de l’indispensable unité d’action de l’opposition autour d’un projet démocratique fédérateur

Une médiocrité qui exige la réflexion et le truisme pertinent des questions suivantes, par la force des choses et la constance endémique à les répéter dans le temps :

Une autre preuve de l'exiguïté dans les convictions de cette opposition Djiboutienne

ADI 23/11/2010 : Le président du FRUD met en garde contre toute tentative d’usurpation du sigle et du nom de son parti
Dans un communiqué le président du FRUD, M. Jean-Marie, a indiqué qu’"il a été constaté, ces derniers temps, que des personnes vivant en Europe et n’ayant aucune attache avec le FRUD usurpent allègrement le sigle et le nom de ce parti politique membre de la mouvance présidentielle (UMP)"
Deux constats:

• Une autre preuve de l'exiguïté dans les convictions de cette opposition, attaché plus à des sigles de partis qu'aux conséquences de leur posture aux yeux du peuple et l'histoire.
• Une preuve manifeste que nos partis, n'ont de parti que le sigle et une figure. Grgrgrgrgrgrgr, je vais me haïr avec cette affirmation, je le sent, mais sur ce point le Psychopathe IOG a raison, ils sont nuls ces dinosaures mais refusent comme même ce besoin criant d'innover et d'écouter.

"Ces gens, poursuit le communiqué, se réclament de l’opposition djiboutienne, alors que rien ne justifie leur exil, car aujourd’hui tout un chacun peut exercer librement des activités politiques à Djibouti si tant est qu’il respecte les lois et les règlements en vigueur".

"Le FRUD n’a mandaté personne pour parler en son nom en Europe ou ailleurs", a-t-il précisé, soulignant que "ni Mohamed Kadamy ni quelqu’un d’autre n’a été autorisé à parler au nom du FRUD, [et] quiconque continuera à le faire, malgré nos injonctions, n’engagerait que lui-même".

Et d’ajouter : "en s’accrochant pathétiquement au nom d’un parti auquel ils n’appartiennent pas, ces individus tentent de se donner une certaine crédibilité", en entretenant en même temps "la confusion dans l’esprit des gens qui ne sont pas au fait de la réalité politique djiboutienne".

Dans son communiqué, le président du FRUD a rappelé que sa formation "appartient, depuis la signature des accords de paix d’Aba’a en 1994, à la coalition gouvernementale et participe à tous les niveaux de la vie politique du pays".

"Le FRUD, qui a connu par le passé des tentatives similaires de récupération et d’usurpation, ne saurait tolérer plus longtemps que son nom soit utilisé dans des activités douteuses à l’extérieur du pays", a-t-il martelé.
http://www.africatime.com/djibouti/nouvelle.asp?no_nouvelle=563713&no_categorie=1

Toujours le même refrain en Afrique avec des élections violant la légitimité et les souhaits des peuples

C'est exactement ce qui nous attend comme Djiboutien d'ici Avril 2011 si cette opposition ne ce décide pas à parler à l'unisson et se mettre au pas contre ce régime pervers.
Avant qu'une autre journaliste de la trempe de Emily Meehan, commence à ironiser sur Djibouti comme sur le processus de la Somalie (Jan. 30, 2009) : "" Would You Like To Be President of Somalia?
If so, send a résumé, photo, and $2,000 to a hotel in Djibouti.

An electoral committee of Somali parliamentarians is examining the résumés and photographs of a dozen or so candidates who applied to become president of Somalia. The election is scheduled for Friday, Jan. 30, and many of the résumés arrived on Jan. 29. Being a citizen of a foreign country is no problem. The only prerequisite is an application fee of $2,000. There is not enough time for background checks, since the new president, whoever he may be, is expected at this weekend's African Union summit in Addis Ababa, Ethiopia.
So, it seems that nobody cares about democracy for Somalia, except the people who are currently stuck there having their hands cut off for theft, being kidnapped for ransom by their own government officials, dying of malnutrition in camps for "internally displaced persons," paying off teenage gunmen at roadblocks, being shot for watching movies, or getting stoned to death for the sin of being raped. ""

AFP - OUAGADOUGOU — Quatre candidats d'opposition ont rejeté mardi par avance les résultats de la présidentielle de dimanche au Burkina Faso, affirmant que de "graves irrégularités" avaient entaché ce scrutin dont Blaise Compaoré, au pouvoir depuis 1987, était le grand favori.

Jean-Pierre Bemba du Centrafrique devant le CPI, bientôt le dictateur IOG et ses collabos au Canada.

Jean-Pierre Bemba du Centrafrique devant le CPI, bientôt le dictateur IOG et ses collabos au Canada.
TOUT CE DONT EST ACCUSÉ CE BOURREAU, LE VIRUS IOG LES A COMMIS À DJIBOUTI, SURTOUT DANS LE NORD, LES TÉMOIGNAGES DE VICTIMES ET PLUSIEURS RAPPORTS D'ORGANISMES DES NATIONS UNIES ET ONG DES DROITS DE L'HOMME SONT LÀ POUR ÉCLAIRER LE CPI.

IL EST TEMPS D'AGIR ET FAIRE JUGER IOG ET SES COMPLICES ICI COMME AILLEURS.
LA JUSTICE CANADIENNE A DÉMONTRÉ SON EXPERTISE EN LA MATIÈRE AVEC LES HUTUS ET LES TUTSIS DANS LES ANNÉES 90, ELLE LE FERA POUR DJIBOUTI.

LES PREUVES SONT CLAIRES DANS CE CAS : CÉLÉBRATIONS DES VICTOIRES DU CRIMINEL ICI AU CANADA À MAINTES REPRISES, PROMOTION ET INAUGURATION DE SA RADIO MILLES COLLINES LE 6 NOVEMBRE 2010 À OTTAWA, PROMOTION DE SON MAGASINE "MARWO" DONT LA VENTE ICI AU CANADA BÉNÉFICIE AUX COMPLICES SANS PAYER LES TAXES COMME TOUT LE MONDE, LES DIFFAMATIONS PERVERSES CONTRE LES VICTIMES DE CE RÉGIME ET CEUX OPPOSÉS À CETTE INJUSTICE.......ETC

"Ce procès consacre la force du droit sur le droit de la force", il "prouve que désormais tous ceux qui, pour une raison ou pour une autre, commettront les crimes les plus graves contre l'humanité, ne seront jamais à l'abri des poursuites et seront traqués jusqu'à leur dernier retranchement", estime le magistrat Joseph Bindoumi, président de la Ligue centrafricaine des droits de l'homme (LCDH).

Jean-Pierre Bemba, qui plaide non coupable, est accusé par le procureur de la CPI d'avoir "sciemment permis aux 1.500 hommes" de son Mouvement de libération du Congo (MLC, milice à l'époque) de commettre viols, pillages et meurtres entre octobre 2002 et mars 2003 en Centrafrique.

"En dehors des cas de viols, il y a eu des meurtres, des cas de mutilations, parce que les hommes de Bemba ont coupé les oreilles de certaines personnes", affirme Me Mathias-Barthélémy Morouba, un des avocats centrafricains défendant les victimes

LE CON DE DJIBOUTI À PARLÉ AVEC UN CADRE DU SAINT CORANT BIEN EN VU

POUR NE RIEN DIRE COMME D'HABITUDE ENTOURÉ DE SA CLIC DE MERCENAIRES ET VALETS ET LE COMBLE DE L'INSULTE AVEC UN CADRE DU SAINT CORAN JUSTE DERRIÈRE SA TÊTE POUR PROUVER LA VÉRACITÉ DE SES INFAMIES. VIDÉO : http://www.youtube.com/watch?v=pQMy1elf1aU

Avant les commentaires et analyses de ce discours par le PRIDE, je laisses nos lecteurs savourer ce que pense une compatriote de sa langue fourchue et je la cite : Princesse Chougoune :

""Je vous invite à suivre le discours irrationnel de notre Mobutu djiboutien qui n'a de sens que pour lui même. J'invite tous les partis de l'opposition et mouvements politiques, de ne pas se laisser gagner par la fièvre de l'opportunisme et persister dans votre refus de participer à une telle faillite de l’état djiboutien et ne déposer aucune candidature. l'isolement de ismael Omar Mobutu, n'est plus a prouver. Empêtré dans sa logique irrationnelle sur la tribalité, le voilà qui veut nous faire croire que la république ne se gère pas à base de cette même tribalité mais qu'elle est ouverte tous.

Non monsieur Ismael Omar Mobutu, la république est seulement ouverte à "vos amis", le clan mafieux qui vous entoure, tel que vous l'avez reconnu lors de votre interview dans les colonnes du jeune Afrique à défaut d'une volonté du peuple.

Pour vous, être Président "est un métier pas facile" comme vous l'avez exprimé aussi dans cette même interview et vous avez raison. Ça démontre à tel point, que l'Ethiopienneté reste encré en vous et que vous êtes venu dans notre pays juste pour y "travailler", le dévaliser et le détruire juste pour faire plaisir à votre pays d'origine.

la politique est quelque chose de noble, qui a sens pour tout être pourvu d'intelligence et de respect pour ses institutions. la politique c'est aussi des convictions, des valeurs et une vision.

Monsieur Ismael Omar Mobutu, les FILS ET LES FILLES du pays, ceux la même que vous opprimez dans leur propre pays, vous demande de le quitter et qu'ils se refusent à ce que vous les "aimiez".

Monsieur ismael Omar Mobutu, vous êtes le pyromane de la région, le malfaiteur, l'être maléfique qui aime l'embraser plutôt que l'embrasser. Vous êtes le détritus de Satan, la risé de la région, sans fierté et sans valeur aucune.

Alors dégage de chez nous et retourne en Ethiopie avec ta clique et laisse LES DJIBOUTIENS, les VRAIS, celles et ceux qui y sont nés, à leur propre destin, celui d'un temps meilleur.

Et ramène avec toi ta "miss Drula" avec son complexe de la négritude. ""

À tous nos compatriotes et les membres de l'opposition contre la dictature IOG à Djibouti se réunissant le 20 Novembre 2010 à Londres

Mesdames, Messieurs,

    Tant et aussi longtemps que toute opposition, de quelque parti, tendance ou coalition que sa soit, n'aura pas la lucidité et l'honnêteté de l'autocritique de ses échecs et ses erreurs, nous ne pourront ni serons une force crédible d'une quelconque alternative du changement tant souhaité par nos concitoyens.

La politique de la chaise vide, du boycotte et des abstentions auxquels nous avons assisté par le passé et imposés par nos partis d'oppositions, n'ont guère empêché ce dictateur de légitimer son pouvoir autocratique, de frauder les élections ou encore de se faire rouler le tapis rouge dans tous ses déplacements.

Dans ces circonstances n'avons nous pas le devoir de rejeter cette répétition de l'histoire par une solidarité sans faille dans une stratégie globale gagnante ou l'opposition devrait se mettre autour d'une table afin d'avoir une feuille de route commune sur la bonne gouvernance dans laquelle nous pourrions définir sans ambiguïté nos volontés démocratique comme :

1. Les réformes constitutionnelles et institutionnelles
2. Sur les réformes et mise en place d'une nouvelle loi électorale pour une démocratie innovatrice adaptée au contexte socioculturel du pays. La répartition des sièges électoraux par région, la décentralisation des budgets et des pouvoirs.
3. Les reformes structurelles et conjoncturelles avec une politique ambitieuse de relance de l'économie.
4. Les échéances à toutes ces étapes et une date de la tenue de la première élection législative libre et équitable selon les nouvelles réformes.

Comme le disait récemment Obama : ""If we think that we can use the same partisan playbook and expect this time a different outcome, then the people will lose. The times are too serious for this kind of politics.""

RÉPONSE DU PRIDE AU MESSAGE DE L'UAD CONCERNANT LA UNIÈME REUNION DE LONDRES ET L'ETERNELLE MASCARADE DES SOSIES D'IOG

NON MERCI.....(RÉPONSE DU PRIDE AU MESSAGE DE L'UAD - VOIR ICI BAS)
Paris, Belgique puis Londres et toujours les mêmes thèmes et la même mascarade !!!!

Heureusement que le ridicule ait pris sa retraite sur terre, sinon il aurait fais un massacre CES TEMPS-CI !!!
Si l'UAD avait l'honnêteté de ne pas induire en erreur ses lecteurs, on aurait eu la décence pour une fois de la prendre au sérieux, mais c'est toujours la même gang, comment pourrait-on espérer qu'ils changent quand tout ce qu'ils proposent est à l'image de leurs œuvres passées. Enfermés dans la lampe d'Aladin, prisonnier de leur défaitisme passé, incapable d'évoluer ou d'innover et si vous avez le malheur de leur adresser une critique de ce genre, vous en aurez pour votre témérité tout en vous affirmant qu'ils sont démocrates mais à leurs façons et qu'ils ont le profond désir de nous gouverner si tout fois on les débarrasse d'IOG.

Les mêmes depuis 33 ans grâce à qui IOG gouverne en SOLO, leur seule préoccupation c'est, qui le remplacera au pouvoir ou prendra sa place. Un rien et ils commenceraient à se tirer dans les jambes comme les DALTON.

Cette coalition n'a de coalition que le nom, sinon n'aurait-elle pas à son niveaux donner l'exemple avec un choix unique de candidat à l'élection présidentielle sur les 3 partis ???

Il serait fou de croire que ces gens là, ait un programme politique ou un projet de société commun, différent que celui d'IOG !!!

De l'un, ils nous disent dans le titre : "Mobilisation DE l'U.A.D à Londres" : (C'EST À DIRE L'UAD ET LEUR MILITANTS)

Puis dans le texte : "Appel de l'U.A.D, à un forum de l'ensemble de l'opposition Djiboutienne, des Dirigeants des Partis et Mouvement Politiques" : (LESQUELS??? C'EST PAS IMPORTANT ON VOUS LE DIRA SUR PLACE !!! MERDE CROYEZ NOUS, ON EST LÀ DEPUIS 33 ANS, POUR CERTAINS DE PÈRE EN FILS !!!!)

Pétition contre les Projets exportés au Canada, d’un despote africain

SIGNONS CETTE PÉTITION : http://www.mesopinions.com/Petition-contre-les-Projets-exportes-au-Canada--d-un-despote-africain-petition-petitions-6ae6d9d77b64b6b8500016ed3525496f.html

Le 7 Novembre 2010
Pétition contre les Projets d’un despote africain,
Un criminel avec le sang d’une 100ène de djiboutiens sur les bras depuis 1974, dont une dizaine juste en cette année 2010,

Mesdames, Messieurs,

On sait tous ce que la RTD, la seule Télévision étatique de Djibouti, représente aux yeux de la très grande majorité de djiboutiens, en somme un organe de propagande qui diffuse que ce qui plaît au criminel et despote au pouvoir à Djibouti en occurrence un homme qui se croit au dessus des lois M Ismael Omar Guelleh,

Les opposants bâillonnés pour leurs idées progressistes, leur soif de liberté et de justice n’ont aucun droit d’antenne à Djibouti au prêt de cet organe, afin de garder le peuple dans l’ignorance, sous sa seule influence néfaste et il serait naïve de croire que les débats de ceux dans la diaspora si toujours on nous donne l’accès à cette soi-disant Radio-TV communautaire à Ottawa, cette libre expression ne sera jamais transmise ou diffusée à la RTD à Djibouti,  celle-ci étant en générale une denrée incomestible aux yeux de toute dictature.

La réunion qui s’est tenu au 233 Gilmour, Ottawa-Canada, le 6 novembre 2010 au soir, organisée et dirigée par des agents au service de ce despote djiboutien, dont un, de passage quittera Ottawa cette semaine afin de présenter à Djibouti la VIDÉO de cette soirée, fruits de sa visite de 3 mois et d’autres résidents au Canada sous des statuts diverses, est en soi une infamie et une façon de venir narguer, ici dans la diaspora, ceux qui ont fuis ce régime sanguinaire, tout en nous présentant à travers cette VIDÉO, comme des supporteurs de son pouvoir, à ses victimes et ceux qui subissent en ce moment même les exactions de cet homme et ses mercenaires à Djibouti.

UN TEXTE QUI M'A FAIT FRÉMIR COMME JAMAIS HONNÊTEMENT JE L'AI ÉTÉ DE MA VIE

ENCORE UN AUTRE TABLEAU TRÈS PITTORESQUE DU DÉVELOPPEMENT À LA MODE DES SANS SCRUPULES COMME LE DESPOTE IOG DE DJIBOUTI. (A MUST READ).
C'EST LA STRATÉGIE CHOISIE PAR CET HOMME SANS FOI NI LOI, AFIN DE S'ACCROCHER AU POUVOIR, EN FERMANT LES YEUX SUR LES RÉSEAUX DE PÉDOPHILIES DES COOPÉRANTS FRANÇAIS RÉVÉLÉS RÉCEMMENT PAR FRANCE 3 AYANT GÉNÉRÉS PLUSIEURS SUICIDES DE JEUNES ET LÀ VOUS AVEZ LA CONFESSION D'UNE JEUNE COMPATRIOTE QUI A EU LE COURAGE DE NOUS FAIRE DÉCOUVRIR PAR SA BELLE PLUME SON VÉCU ET CELUI DE MILLIERS D'AUTRES PIÉTINÉES PAR DES EXPATS ET DES SOLDATS À QUI IOG DONNENT CARTE BLANCHE POUR FAIRE CE QU'ILS VEULENT À DJIBOUTI, AU NOM DE LA LUTTE ANTI-TERRORISTE.

C'EST UN ""SOS"" D'UNE JEUNE COMPATRIOTE DJIBOUTIENNE "Saada pseudonyme" ET UN ""J'ACCUSE"" DANS SES PROPRES TERMES ET JE LA CITE : ""Tous les Djiboutiens devraient être condamnés pour non assistance à jeunesse en danger.""

TEXTE :
"""Posté 05 novembre 2010 - 10:27 sur le Forums Djibnet.com : http://www.djibnet.com/mabraze/topic/21852-la-prostitution-a-djibouti/
La prostitution à Djibouti ! Le 19/10/2010

« Djibouti, terre d’échange et de rencontre », Hasssan Gouled Aptidon, premier président de la République de Djibouti.

UN PETIT TABLEAU TRÈS PITTORESQUE DU DÉVELOPPEMENT À LA MODE DES SANS SCRUPULES

COMME LE DESPOTE IOG DE DJIBOUTI.
Moins d'un cinquième des ménages ville de Djibouti sont connectés au réseau d'assainissement collectif de l'ONED dans les quartiers populaires. Alors que plus de 80% des foyers se servent de latrines individuelles dont les débordements rejettent des eaux usées sur les espaces publics de la capitale.

Des rues commerçantes envahies par des eaux usées stagnantes, des détritus qui jonchent certaines routes, et des Djiboutiens qui restent fatalistes face l'insalubrité.
Mais il existe des raisons structurelles aussi: les dysfonctionnements du système d'assainissement qui prévaut encore dans la capitale. Moins d'un cinquième des ménages des quartiers populaires sont connectés au réseau d'assainissement collectif de l'ONEAD.

Alors que plus de 80% des foyers de ces milieux populaires se servent de latrines individuelles dont les débordements rejettent parfois des eaux usées sur les espaces publics environnants. Plusieurs stations d'épuration des eaux usées du réseau collectif sont même hors d'usage :
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20081212095957/banque-africaine-de-developpement-eau-assainissementegouts-et-eaux-usee-un-enjeu-important.html

PIB Djibouti = 875 $ Millions
Dette = 665 $ Millions
PIB par habitant : 1314 $
Répartition du PNB par secteurs :
 agriculture : 4 %
 industrie : 16 %
 services : 83 %

52 % de la population vie avec moins de deux dollars par jour
70% de Chômeurs longue durée
Dépenses pour l'éducation : 7% du PIB
Dépenses de santé : Dépenses de santé : 6,6% du PIB

LA TRAHISON DU DICTATEUR DE DJIBOUTI : ISMAEL OMAR GUELLEH

En plus d'avoir ruiné le pays des Braves la République de Djibouti, institutionnalisé le tribalisme et la corruption et affamé ce peuple au point qu'il vit aujourd'hui sur l'aide alimentaire internationale, une série de perquisition a l'Élysée, au Quai d'Orsay et l'enquête du documentaire de France 3 "La légende du juge Borrel", diffusé le dimanche 17 octobre 2010, apporte de nouvelles pièces au dossier sur l'assassinat du juge Borel, tout en révélant le silence criminel de ce dictateur.

La TRAHISON de la part de ce Dictateur envers le peuple et les victimes de ce réseau de coopérants pédophiles français, vient d'être mise à jour par ce documentaire, quand ce dictateur, dès 1995 déclarait que : ""L'AFFAIRE BOREL EST UNE AFFAIRE FRANCO-FRANÇAISE"", il savait pertinemment les tenants et aboutissants de ce dossier, en somme il était au courant des raisons pour lesquelles ce magistrat français a été tué par des coopérants français mais a choisi de se taire.
Par contre, lorsque la veuve Borel l'a accusé d'être le commanditaire du crime, ce dictateur sombre et sans scrupule, à su jouer avec la fibre patriotique du peuple de Djibouti en les poussant à manifester pour sa défense.
Pourtant cet homme avait pris devant DIEU et le peuple, le serment suivant : "" Je prête devant le Tout Puissant et devant mon peuple, je réponds à la confiance dont mon peuple m'a investi et je jure de m'engager, jusqu'au dernier souffle de la vie que me prête Dieu, pour la sauvegarde et pour le service des fondements de notre Nation.""

En raison des prix élevés des denrées alimentaires et d'un pouvoir d'achat réduit, trop de gens sont incapables de nourrir leurs familles

L'ONU a demandé mercredi le 3 Nov 2010, 39,9 millions de dollars pour venir en aide à 120.000 personnes sur une population de 800 000 habitants qui souffrent de la sécheresse à Djibouti depuis 2005. Date du 2ème mandat présidentiel du despote.

Après ces années de sécheresse chronique, environ 25.000 enfants de moins de cinq ans -- ce qui représente 20% de cette catégorie -- souffrent de malnutrition aiguë à Djibouti, selon un communiqué du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU.

""Des années successives de sécheresse ont dévasté les moyens de subsistance des populations dans les régions rurales de Djibouti"", a déclaré la responsable des Affaires humanitaires de l'ONU Valerie Amos, citée dans le communiqué.

""En raison des prix élevés des denrées alimentaires et d'un pouvoir d'achat réduit, trop de gens sont incapables de nourrir leurs familles"", a-t-elle souligné.

Djibouti, la terre de tous les paradoxes.

Ce pays où la liberté d’expression est considérée comme une hérésie au point que le code du travail qualifie l’activité politique et syndicale de faute lourde (article 41.), le DICTATEUR de la république prend part à une manifestation qui appelle le passage de l’âge de la retraite de 54 à 63ans.

"" Guelleh se met à l'heure européenne, en matière de droits à la retraite. Chiche ! "" (Humour - ARDHD)

IOG aurait pris personnellement la tête d'un petit cortège de manifestants triés sur les volets et membre de son petit parti qui rétrécit comme peau de chagrin, réclamant que l'âge légale de la retraite au royaume de pacotilles de ce despote, soit haussé à 63 ans.
De quoi narguer son maître Sarko ....

Le paradoxe ici, déconnecté de la réalité, symptôme très courant chez les despotes qui finissent par user le mobilier à leur juste mesures et finissent leur vie entourés par des larbins qui sont fusillés sur un avis et par conséquent non autorisés à les corriger, dans ces conditions on ne s'étonnera pas que notre Dictateur ait oublié qu'il venait juste en Mai 2010 de constitutionnaliser unilatéralement l'âge limite à 75 ans pour postuler à un emploi ... Comment voulez-vous aller à la retraite à 63 ans et revenir sur le marché de l'emploi à 75 ans ???
Une perspicacité qui mérite effectivement des applaudissements et qui démontre les talents des administrateurs entourant cet homme, sur qui repose le destin du pays et l'espoir d'un peuple affamé et appauvrit, non pas par le sort mais par l'incompétence de cette bande d'incapable soutenue par l'occident.

Follow the money - Suivez l'argent - C'est le thème d'une série d'ateliers de formation à partir de Novembre

Follow the money – that is the theme of a series of training workshops starting in November for journalists from African countries, for which the Thomson Reuters Foundation has joined forces with the Norwegian Agency for Development Cooperation (NORAD).

About 100 journalists, spread over eight courses in different African locations in the course of the next year, will receive intensive training to hone their financial reporting and analytical skills.

It is the first time the Thomson Reuters Foundation has teamed up directly with a national development aid agency to deliver this kind of training, although it has previously worked with multilateral organisations and local partners to run courses aimed at strengthening financial journalism in Africa.

To apply for the the Dakar and Nairobi courses please go to the following links:

Dakar: http://www.reuterslink.org/courses/financeNORAD_Nov10.htm
Nairobi: http://www.reuterslink.org/courses/financeNORAD_Dec10.htm

Pour les journalistes Africains intéressés au journalisme d'investigation et Dieu sait qu'on en a besoin pour suivre à la trace et récupérer l'argent des peuples Africains placés ou investis hors frontières par nos despotes.

Suivez l'argent - C'est le thème d'une série d'ateliers de formation à partir de Novembre pour les journalistes des pays africains, pour lesquels la Fondation Thomson Reuters a uni ses forces avec l'Agence norvégienne de coopération pour le développement (NORAD).

Environ 100 journalistes, répartis sur huit cours dans différents endroits d'Afrique au cours de l'année prochaine, recevront une formation intensive afin de parfaire leurs connaissances dans la finance et les compétences analytiques.

C'est la première fois que la Fondation Thomson Reuters a fait équipe directement avec une agence d'aide au développement national à fournir ce type de formation, même si elle a déjà travaillé avec des organisations multilatérales et des partenaires locaux à organiser des cours visant à renforcer le journalisme financier en Afrique.

Pour appliquer aux cours à Dakar et Nairobi consultez les liens suivants:
Dakar: http://www.reuterslink.org/courses/financeNORAD_Nov10.htm
Nairobi: http://www.reuterslink.org/courses/financeNORAD_Dec10.htm

UNE BELLE PARADE, À RÉPÉTER ET PROMOUVOIR, DU PEUPLE DE DJIBOUTI

UNE BELLE PARADE, À RÉPÉTER ET PROMOUVOIR, DU PEUPLE DE DJIBOUTI POUR DIRE ""NON PAS CETTE FOIS-CI"" À LEUR DICTATEUR DES 33 DERNIÈRES ANNÉES:
Le Pirate-Dictateur IOG, de passage dans la ville d'Ali-Sabieh afin de s'acquérir de la progression de son nouveau château en construction, vînt t'as faire sa prière du vendredi dans la mosquée de la ville. On se demande encore comment cet escroc peut prétendre se rendre dans une mosquée et prier sachant ces faits et gestes, mais bref, la population vient de lui trouver une belle parade pour signifier leur colère.

La mosquée bandée de fidèles, comme s'ils auraient été dérangés par le passage d'une moufette, à la vue du Pirate-Dictateur, les fidèles n'ont pas attendu la fin du Sermon qu'ils ont pris leurs clics et leurs clacs pour vider le lieu.

Il fît sa prière seul avec ses gardes, en sortant, encore probablement choqué par l'évènement, il tituba et plongea face contre terre. Relevé par ses gardes et dépoussiéré, il a été remis dans sa caisse blindée.

Deux jours plus tard, ayant eu écho, la population de Balballa à répété l'exercice. Ils attendirent la pose de la première pierre sur le cite d'un édifice et quand il s'apprêtait à faire son discours, ""demi-tour droite"" et plus personne pour écouter ou applaudir son ensemble vide.

Chapeau pour le, la ou les compatriotes à l'origine de cette initiative originale. En espérant que ceci le sorte de sa torpeur et sa sérénade du : "Le peuple m'aime"

Le PRIDE encourage nos compatriotes à répéter l'exercice pour tout évènement de propagande du Pirate-Dictateur IOG et ses flibustiers d'ici les élections d'avril 2011.

Le PRIDE : PARTI RÉPUBLICAIN pour L'INNOVATION DÉMOCRATIQUE et L'ÉCOLOGIE
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