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BIENTÔT, DJIBOUTI AUSSI DIRA "NON" AU NÉPOTISME DE L’ADMINISTRATION INDIRECTE DU PRÊTE-NOM.
"LA LIBERTÉ N'EST JAMAIS ACCORDÉE DE BON GRÉ PAR L’OPPRESSEUR ; ELLE DOIT ÊTRE EXIGÉE PAR L'OPPRIMÉ." -- MLK
DJIBOUTI : REFORMONS L'OPPOSITION AFIN DE POUVOIR UN JOUR REFORMER L'ÉTAT
NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2014, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

26 août 2013

Algérie, Tunisie, Libye, Égypte, Syrie, l'ultime test du nouvel ordre ; l’apnée prolongée du 2 tiers de la planète ou le retour douloureux vers un équilibre humain

Raimundo Kabchi : "Comment comprendre le fait que l’Occident partage quelque chose avec des pays qui n’ont jamais eu de Constitution, de partis politiques d’opposition, de syndicats et, où les droits de l’homme ne sont pas respectés ? Ce sont ces pays qui sont les alliés de l’Occident, du même Occident qui dit vouloir apporter la démocratie ailleurs. Comment comprendre cela et comment l’expliquer ? - L’impérialisme ne pardonne pas, n’a pas d’amis, l’impérialisme a des vassaux ou des ennemis. Il utilise son vassal comme un objet jetable et il fait tout pour détruire son ennemi"

Sans prétendre posséder le génie de la dite ASL créée pour la prise de contrôle de la Syrie ou à défaut la détruire, publiant une attaque au gaz sarin 24 heures avant le drame - la complexité des problèmes du Proche Orient ainsi que les géostratégies en jeux étant ce qu'elles sont - tout porte à croire, en ce qui concerne l'Égypte que, ce peuple comme tout observateur de la tragédie en cours, sommes tous roulés dans la farine des printemps Arabes.

Les égyptiens, toutes allégeances et aspirations confondues, meurent croyant combattre un césar puis un autre, un mouvement politique puis un autre, pour plus de libertés, de modernités et un mieux vivre, alors que sur le fond, ils ne sont que dommages collatéraux d'une réelle guerre en filigrane non déclarée, entre l'armée égyptienne et les pouvoirs de l'ombre dans le seul but de conserver le contrôle de l'Égypte et éviter de faire des émules. Un pied de nez à plus de 5000 ans d'histoires et aux 31 glorieuses Dynasties.
Masr Oum-Al-Arabe Wad'dunya est essentiel à l'agenda du nouvel ordre mondial des cavernes sous sa forme docile pré-révolution. Un jeu d'échec qui risque de sortir complètement de la compétition celui feignant d'ignorer la sortie de coma du peuple Égyptien, tourné définitivement vers la modernité, la démocratie, les libertés et une armée plus forte que jamais, militairement et financièrement débarrassée de son tuteur et dictats de l'occident.

Pour l’empire en détresse, ça casse ou ça passe. Pour l’africain, soit il se met debout et nettoie devant chez soi, ou subit en silence le froid prolongé d’une structure prédatrice sans scrupule aucun, car une chose est sure, à chaque fois qu’il refusera d’entretenir leurs politiques étrangères ou soumettra les puissantes corporations à la libre concurrence comme en Côte d’Ivoire sous la Présidence Gbagbo, la ploutocratie Washingtonienne et leurs obligées européennes considèreront nos libertés et la démocratie dangereuses, piafferont le droit international et la souveraineté de tout état sur l’autel de gouvernants ou dirigeants : malléables, achetés, vendus ou détruits et ceci ne peut plus durer.

La résistance algérienne, l’actuel mouvement des masses en Tunisie et l'Égypte, le triomphe des libyens et syriens sur le terrorisme occidental, jumelés à l'implosion du ras-le-bol US qui ne saurait tarder, cette matrice sonnera les glas des promoteurs de l'impunité ambiante, du désordre et du chaos, la désinformation et l'exploitation des masses.
Du Shah d'Iran à Ben Ali, de Moubarak à Morsi en passant par Chavez, pour ne citer que ceux-là, si les coups d'État et le chaos ont démontré être une spécialité de l’OTAN, ils ont aussi établi leurs limites à sauver leurs marionnettes d'un soulèvement de masse organisé. Le dernier soubresaut de la chaise musicale forcée tunisienne, de remaniement de gouvernements entre la même clique d'inconscients, à chaque assassinat d'un opposant - une politique programmée conduire à l'épuisement et la résignation - est aussi en train de virer au cauchemar de Marzouki et Ennahda.

En Israël tout, absolument tout l'État et son économie est contrôlé par l'armée, au nom de la sécurité du pays créé de toute pièce en 1948, et personne ne trouve à redire.
Ces 20 dernières années, proximité oblige et surtout pour être à la hauteur des défis qu'impose la géopolitique régionale ; l'ambitieuse armée Nassérienne soucieuse de retrouver son prestige de 1ère puissance militaire Arabe, s'inspira de ce même concept, sur une échelle qui fait trembler ses concurrents. Les généraux décryptèrent à temps le danger et anticipèrent par les putschs contre le clan Moubarak et Morsi, profitant de la volonté de changement des printemps Arabes.

Moubarak comme le FM, l'un en fin de règne après 30 ans d'une belle complicité avec l'allié Étasunien et le FM dès l'accession au pouvoir après 83 ans de bons et loyaux services dès 1928, jouant aux seconds couteaux de tous les salles coups sur diverses théâtres, ont eu pour mission, la mise au pas du Conseil Suprême des Forces Armées (SCAF) ; les dirigeants de facto de l’Égypte depuis Nasser. Cette armée devenue une puissance militaro-économique, secondée par une police aussi dissuasive et 2 fois plus fortes en effectifs, commençaient à déranger les vautours atlantistes plus fervents des proies faciles ; fallait que ça change.

Dans son discours sur le Moyen-Orient du 19 Mai 2011, Barack Obama affirmait que les États-Unis avaient d’ores et déjà demandé au FMI et à la Banque Mondiale d’établir un plan pour stabiliser et moderniser l’économie égyptienne, comme s’il avait été élu pour sauver le monde, alors que l’Amérique dont il occupe la Maison Blanche, fait face à un chômage record et la faillite d’une centaine de villes, puis on sait tous que le FMI et la BM n’ont jamais rien stabilisé ni modernisé, mais bref passons !
Déclare notamment que les États-Unis avaient annulé la dette égyptienne d'un milliard de dollars et qu'il se tenait prêt à « travailler avec ses partenaires égyptiens en investissant ces ressources, favoriser la croissance et l’effort d’entreprise ». Comment peut-il annuler la dette d'autrui lorsque la dette globale des USA (État + Collectivités + Dette de chaque Américain) dépasse les 50 000 Milliards, plus de 3 fois le PIB Nationale ?
C'est à ne rien comprendre… Le 4ème pouvoir laminé – les marchands de la mort et, le mensonge en tailleur cravate ont fini par se prendre pour Dieu !

Ainsi fût prise la décision de confiner l'armée dans ses casernes, réduire leurs pouvoirs et leur mainmise sur l'économie du pays, non pas pour plus de démocratie, de liberté ou le bien être des égyptiens, mais plutôt, détruire cette nouvelle puissance militaire à la porte d'Israël, offrir son économie émergente en pâture au capitalisme sauvage sous contrôle du FMI et la BM, rendre ce pays aussi docile que du temps de Sadate.

Après l'échec de Moubarak, les frères Musulmans ont été choisis pour cette tâche. Le peuple prit en sandwich entre ses propres espoirs de changement et ce tir croisé, livre en ce moment même, la mère de toutes les batailles du 21ème siècle. Connaissons le mode opératoire de l'occident, l'art de diviser pour mieux régner usera des 2 seules cartes dont il fût montre et maître ; une manipulation médiatique bien pensée légitimant un règlement de compte entre généraux pour l’émergence d’une génération de jeunes officiers plus malléables, soit une quasi décente en enfer sur le modèle syrien au nom de la démocratie du sauveur. Évidemment, ni l'une ni l'autre de cette entreprise diabolique ne jouera en faveur de l'Égypte, à moins que la direction du FM retrouve leurs esprits, remettent de l’ordre dans leur mouvement, au nom de la patrie : MASR - les Égyptiens doivent s’inspirer de la révolution birmane de 1988, et s’organiser en conséquence. Corriger les erreurs des Birmans qui ont trop longtemps attendu l'arrivée d'un sauveur providentiel au lieu de s’organiser comme seuls décideurs, après s'être débarrassé de 7 tyrans. Leur révolution a viré au cauchemar, étouffée dans le sang. Découragement et démobilisation s'en suivirent.

La mise en branle de ce plan conduit entre autres par le FMI, fût la goutte qui fit déborder le vase. L’idée selon laquelle l’armée égyptienne aurait évincé Gamal Moubarak afin de préserver ses intérêts est largement partagée, pour avoir notamment appuyé les réformes néolibérales du Premier Ministre Ahmad Nazif entre 2004 et 2010. Si un tel programme était mené à terme, toute entreprise du secteur public dirigée par l’armée aurait soit fermée soit privatisée, une menace aux intérêts financiers et stratégiques de l’armée,

Le mouvement populaire anti-Moubarak offrit le pain béni conduisant au coup d'État militaire contre ce dernier en Février 2011. Pour reprendre la situation en main, les Etats-Unis tenteront d’appuyer discrètement le SCAF dans la continuité du régime Moubarak, espérant les convaincre ou forcer à vendre le pays, mais en vain surtout après la mort dans des conditions obscures, lors d'examens médicaux aux USA du Général Omar Souleimane, le chef des renseignements sous le régime Moubarak et auteur du coup d'État contre ce dernier. Un détail qui mérite d'être souligné pour la compréhension de ce bras de fer militaro-politique : Le général Omar Souleiman s'était aussi porté candidat cette année-là, à la première élection présidentielle de l'après-Moubarak, mais en avait été écarté d'un revers de la main par la commission électorale expliquant qu'il n'avait pas réuni suffisamment de signatures de parrainage, la preuve que sous Moubarak, l’Égypte n’était qu’un État vassal à tous les niveaux jusqu’au sein de cette commission. Pour un homme de son rang, malgré son ancienneté et connaissance des rouages de la politique, avec tout le soutien militaire et l'appareil politique du PND, c’est Morsi, l'inconnu de l’Égypte qui passe le test comme un couteau dans le beurre. Trouvez l'erreur !

Avec 5,5 millions de voix au 1er tour et un petit miracle de 11 millions sur 55 millions d'inscrits au 2ème tour, pas de quoi claquer les bretelles d'une quelconque absolue légitimité invitant à l'arrogance affichée par ce dernier, surtout sachant la fraude sur la fabrication des listes électorales ayant procuré aux frères musulmans plus de 9 millions de voix supplémentaires.
Un peu de savoir-faire de la SCAF, facilité par les gaffes politiques monumentales de Morsi dont, la décision de rompre les relations avec la Syrie et pire encore si confirmé ; la concession de 40% du Sinaï comme solution à l’Apartheid en Palestine - un mouvement plus habitué à recevoir des ordres qu'à diriger un pays - le 2ème coup d'État fut un jeu d'enfant avec plus de 20 millions d'Égyptiens dans la rue. Le nez dans le ruisseau de la déception média, nous avons tous manqué de constater la détresse d'un empire aux abois, condamné à réagir à l'actualité qu'à prévoir les conséquences de sa politique étrangère dévastatrice.

Les généraux égyptiens et le capital transnational, de Shana Marshall et Joshua Stacher, nous donnent un aperçu sur cet aspect des enjeux en Égypte.

S’il est bien connu que l’armée fabrique un peu de tout en Égypte - de l’huile d’olive au cirage de chaussures en passant par les isoloirs utilisés lors des élections parlementaires de 2011 - personne ne sait exactement quelle est la part de l’économie égyptienne qui revient à l’armée. Les entreprises dirigées par l’armée étaient surtout connues pour la production de matériel militaire, ces dernières années les généraux ont su diversifier les activités et les placements.
Démarrage de projets dans des secteurs tels que le transport maritime, le pétrole, le gaz et les énergies renouvelables. Investissent dans l’immobilier et le crédit-bail d’équipements, fournissant à l’armée de nombreux avantages comme les terrains, les infrastructures, les capitaux, ainsi que les commerces privés qui sont connus pour former « l’économie des officiers ». Les tentacules de l’armée se sont également emparés du secteur public lors du processus de « privatisation » mis en place dans les années 90. Un des exemples en est la confiscation du chantier naval d’Alexandrie au ministère de la défense en Août 2007 qui construit aujourd’hui des navires marchands, des navires de guerre, et offre des services de réparation aux compagnies de transport maritime privées. De même, l’Arab Organization for Industrialization (AOI) - contrôlée par l’armée - détient désormais en totalité la General Egyptian Company for Railway Wagons and Coaches, privatisée en 2002. Parallèlement, les programmes d’investissements communs avec les conglomérats du Golfe et les firmes multinationales ont accéléré de manière spectaculaire le projet de diversification de l’armée.
Le groupe koweïti M.A. Kharafi and Sons - dont le patriarche se place septième parmi la liste des personnes les plus riches en 2010 du magazine Arabian Business - s’est révélé être un partenaire très proche. Depuis 2001, le groupe s’est greffé à de nombreux projets, dont l’Arab Company for Computer Manufacturing, qui est le seul fabricant de matériel informatique et au sein duquel Kharafi détient 71% des parts, s’ajoutant à l’AOI et à une filiale appartenant au ministre de la production militaire qui détiennent chacun 5% du capital. Cette entreprise, qui fait appel à l’entreprise taïwanaise Aopen pour sa technologie, dispose d’un capital de départ de 140 millions de dollars et produit 750 000 ordinateurs par an. A travers une filiale, Kharafi contrôle environ 60% de l’International Pipe Industry Company, dont dix autres pourcent sont détenus par le ministère de la production militaire. Cette entreprise, déclarant des ventes de 104 millions de dollars en 2008, est le plus grand fabricant de gazoducs et d’oléoducs dans la région. L’ancien ministre de la production militaire Sayyid Mish’al l’a décrite comme étant un « modèle de coopération » entre les secteurs public et privé. L’armée et Kharafi dirigent également une opération appelée Maxalto, qui repose sur la technologie de l’entreprise allemande Schlumberger pour produire des cartes à puces. Par ailleurs, il existe de nombreux projets communs entre les filiales égyptiennes appartenant à Kharafi et les sociétés de portefeuille dirigées par l’Etat et l’armée.

L’armée égyptienne a tout pour plaire aux investisseurs étrangers : les secteurs économiques fortement contrôlés par l’armée sont également ceux parmi les plus prometteurs du pays, à l’instar des frets maritime et aérien, du pétrole et du gaz, des projets environnementaux de grande envergure tels le traitement des eaux usées et les énergies renouvelables. L’armée a activement recherché à établir des partenariats avec des entreprises étrangères dans chacun de ces secteurs, notamment sous le nom de partenariats public-privé - un mécanisme de développement qui vient également satisfaire les restrictions imposées par les conseillers politiques néolibéraux. D’importants apports de capitaux par les banques d’Etat, conjugués avec les prêts des institutions financières internationales et les privatisations accrues sous le ministère d’Ahmad Nazif, ont facilité la création de « joint ventures » entre les conglomérats du Golfe, les multinationales et l’armée.

Contrairement à l’image d’une armée défendant ailleurs, le protectionnisme et les intérêts du seul complexe militaro industriel, les projets de l’armée égyptienne sont de nature plutôt collaborative avec des conglomérats du Golfe, multinationales occidentales et asiatiques, autant de partenaires privilégiés. A l’image des oligarques du secteur privé, les officiers se servent de leur influence politique et de leur mainmise sur l’économie pour attirer les investisseurs étrangers dans leur pays, les apports de capitaux et accords de transferts de technologie viennent gonfler les bilans. La stratégie d’investissement de l’armée produisant d’énormes dividendes, le SCAF en plus de contribuer à l’économie et le développement de l’Égypte, contourne les institutions internationales vautours en prêtant à la banque centrale égyptienne des gros montants, distribue d’importants bonus mensuels (environ 2 400 livres égyptiennes, soit 400 dollars) au personnel de grade intermédiaire au sein de l’armée depuis le début du soulèvement contre Moubarak.

En conclusion :
Vu sous cet angle, avec suffisamment de recul ; quel égyptien pourrait reprocher à son armée d’avoir rejeté le retour à la soumission et refusé le dépouillement du pays par la pire espèce animale, la plus criminelle et vorace sur terre ?
Et sachant que l'occident n'a jamais supporté une quelconque démocratie si ce n'est les despotes, le chaos et la dépendance ; que ces dirigeants soient avec Morsi ou Sissi, en quoi leur mainmise sur l’économie du pays et l’affaiblissement de l’armée seraient-ils plus profitable à l’Égypte ?
Si la proie prenait de temps à autres, le temps de sortir le nez de la bouse mainstream, nous aurions tous constaté la matérialité nauséabonde de l'arnaque démocratisée et les libertés prostituées par l'entreprise funeste de l'appat du gain. Et que notre salut et aspirations ne verront jour que dans la seule cohésion de nos forces et volontés à dire NON ensemble, aux dictats étrangers.

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

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""Il y a un temps pour RÉFLÉCHIR, un temps pour SENSIBILISER, un temps pour ÉPILOGUER et un temps pour AGIR contre le RPP : RASSEMBLEMENT DES PILLARDS DU PEUPLE.""
Téléchargez sur SkyDrive le CONTRAT JURIDIQUE ET MORAL avec le peuple de DE DJIBOUTI, afin de rassurer la population sur les INITIATIVES qui seront mises de l'avant AU DÉPART D'IOG : FEUILLE DE ROUTE (PDF)

UNE OPPOSITION RESPONSABLE ET CRÉDIBLE.

Le parti PRIDE appelle l’opposition à assumer pleinement son rôle. Lançons l’organisation d’un Congrès qui unira nos efforts, nous donnera la crédibilité nécessaire et l’appui de la communauté internationale pour une transition exigeant non seulement le respect de la constitution mais aussi la reforme du scrutin électoral et les dispositions préalables pour en assurer la transparence avant les prochaines élections de 2011.


Le peuple veut voir une opposition responsable autour d’une table ronde ou chaque parti sera représenté par 5 membres de leur direction et d’observateurs Djiboutiens.


Chaque parti tout en gardant ses affiliations, contribuera à édifier un document fort, engageant et prometteur, ralliant la population Djiboutienne toute entière dans sa diversité, contre le ballon vide d’IOG, à la mode Ukrainienne. Le document final signé par les parties, sera soumit aux pays médiateurs choisis au Congrès et aux institutions internationales.


DE LA SAGESSE, UNE VISION ET DU COURAGE, EST-CE TROP DEMANDER?


Le rôle de ces observateurs Djiboutiens comme la préparation du congrès, sera confié à une agence spécialisée dans l’exercice de cette fonction et un comité ou une entité neutre assumera la coordination et la préparation des documents du Congrès, entre cette agence et les parties ayants exprimées leur volonté d’y participer.


Dans un souci de transparence et de tenir le peuple informé, à défaut d’être diffusés en direct sur l’internet, tous les travaux de ce congrès doivent être vidéo-enregistrés.


Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie : PLAN D’ACTION POUR UN FRONT COMMUN.

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CONSTITUTION DE LA RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI : EN FRANÇAIS ENGLISH

Présenté à toutes les Ambassades et Consulats de France dans le monde -- Memorandum du 28 Sept 2010.pdf.