Djibouti : Ahmed Youssouf MUST GO – TIME FOR CHANGE HAS COME

Depuis 2 jours quelques agités du porte-parole de l’USN, ces exaltés du maintien de la gouvernance coloniale par les naturalisés, tentent de sauver le traitre Ahmed Youssouf de ses militants de parti, d’un congrès qui mettrait un terme à la forfaiture du Club USN.

Dans la composition actuelle de ce groupe, on sait tous hors de tout doute raisonnable, malgré le mensonge éhonté de certains se référant à une coalition de 7 partis politique inexistant dans les faits et le droit, que sans l’ARD, l’USN n’est qu’un ensemble d’insignifiants en service commandé, d’agents de la SDS et d’illuminés de la rétention tribale du pouvoir, sans aucun soutien populaire.
Si Ahmed Youssouf était destitué, dépossédé de sa couverture de renégat, remplacé par un dirigeant digne posant les vrais questions aux noms de tous les militants de l’ARD, cet exercice démocratique mettrait à jour l’agenda du groupe qui n’est rien d’autre que :

• La continuité politique post-IOG
• Et le sabotage de la naissance de toute réelle opposition politique pour le changement hors influence du système ; mission principale du groupe.

Par conséquent, voici la réflexion sur laquelle devrait méditer, tout dirigeant de l’opposition comme les militants et la population dans son ensemble :

1. On sait tous que le printemps Arabe djiboutien a pris pause le 25 Février 2013 lorsque les Braves ont découvert la vraie nature et agenda, d’où le boycotte massif, des minimalistes USN.
2. IOG est aujourd’hui loin d’être mal pris sans cette force, seule à faire bouger tout despote que sont les masses, pour qu’il négocie quoique ça soit avec sa propre création ; une fausse opposition aux ordres dont il contrôle les éléments.
3. Ceux qui prétendent qu’IOG pris langue avec eux, pour conduire lui-même des négociations sur des réformes démocratiques sous pression diplomatique extérieure imaginaire et médiation de l'Union africaine (UA) jamais considérée par l’institution en respect de son statut ; TROMPENT EFFRONTÉMENT POUR GAGNER DU TEMPS - ENDORMIR LES MILITANTS DE L’ARD - SAUVER AHMED YOUSSOUF ET LE CLUB USN.
4. Ou encore, qu’IOG agirait ainsi, en prévision de la convention de Lomé, le sommet UE-Afrique en avril à Bruxelles ou le sommet Afrique-Etats-Unis à Washington en août, comme s’il fallait juste un sommet hors frontière pour que ces puissances agissent en démocrates, par ailleurs présentes en forces sur place à Djibouti ;  MISENT SUR L’IGNORANCE, POUR GAGNER DU TEMPS, ENDORMIR LES MILITANTS DE L’ARD, SAUVER AHMED YOUSSOUF ET LE CLUB USN. L’amnésie volontaire se veut passer sous silence que les 1er à légaliser la fraude électorale du 22 Fév 2013 et ferment les yeux sur la nature du régime, ont été, ces mêmes puissances, dont le secrétaire général accueillait IOG en ami au siège de l’OTAN à Bruxelles, le 16 Sept 2013 puis Hollande à l’Élysée le 6 Déc 2013.

Devant l’évidence des rapports Nord-Sud postindépendances ; si la rencontre annoncée entre IOG et Aden Mohamed Abdou de l’ARD et non des autres, hasard oblige, a vraiment eu lieu, on pourrait toujours spéculer sur l’objet de cette rencontre, sans cependant, nous laisser dévier par les fantasmes de certains à moins de croire au père Noel  ; La démocratie n’a jamais été à l’ordre du jour de l’agenda d’IOG ou celui de ses soutiens étrangers, à Djibouti comme ailleurs. Nous sommes là, devant la forfaiture que dénonce le PRIDE, depuis des années, de l’UAD À L’USN, d’une opposition politique phagocytée à l’os par le régime, dans le seul souci de fuir la justice et rester en fonction à vie ou du moins remplacé par des sosies. S’il s’est senti obligé d’agir, pour autant qu’il ait agi, c’est dans le seul but de sauver ses propres marionnettes, face à la menace de perdre le contrôle avec la destitution d’Ahmed Youssouf. Sans lui, le crédit politique Afar qu’ils veulent lui faire incarner, à l’instar de Barkat Gourad ensuite par Dileita, serait nul et les autres du groupe à nu.

Au nom du changement et tous les motifs soulignés ci-haut, le PRIDE encourage les militants et la direction dissidente de l’ARD à la tenue du congrès de la vérité, dans les plus brefs délais.
Débarrassez nous de grâce de ce parasite, traitre à sa communauté et la Nation, qui, de l’UAD à l’USN ne fait qu’imiter IOG dans tous ses vices, en béatifiaient des génocidaires comme Ismael Guedi et ses 2 exécutants, récompensant un maffieux comme Boreh, tenu en laisse tel un mouton par les naturalisés à la succession clanique de la terre promise, alors qu’il exclut à tour de bras de l’ARD tous ceux du parti qui osent lui demander des comptes.
Cet homme, de par son CV, incarne plus la continuité qu’un quelconque changement politique.
HE MUST GO – TIME FOR CHANGE HAS COME…

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)